S’alimenter est un besoin naturel qui se base sur des choix. Cet acte fait intervenir, au-delà des sens, la psychologie, les émotions. Ainsi, quand vient l’heure des émotions négatives, les comfort-food viennent à la rescousse. Généralement constitués de sucres, ils activent la bonne humeur dans les cœurs.
Adultes et enfants raffolent des saveurs
L’alimentation a un côté psycho-affectif qu’il ne faut pas ignorer. En mangeant, on fait intervenir les sens qui provoquent des sensations de plaisirs et de bien-être. C’est ce sentiment de réconfort qu’éprouvent petits et grands américains lorsque leur réservoir affectif est à plat. Il faut comprendre que ce phénomène est soutenu à cause des snacks, des fast-foods.
Les couleurs et les saveurs qui constituent chaque Recette américaine suscitent l’envie d’en consommer plus. Elles influencent les émotions négatives de sorte à créer un lien de dépendance entre la personne et l’aliment. Ainsi, les moments de stress constituent les meilleurs moments pour se gaver de nourriture. Chose qui justifie le nombre élevé de ceux qui s’adonnent à un tel comportement alimentaire.
Le réconfort que les Américains adultes trouvent dans le snacking influence les petits et les poussent à devenir comme leurs aînés. Ceux qui adoraient les fastfoods durant leur enfance ne vont pas aussi facilement les abandonner en cas d’émotions négatives. La nourriture devient un anti-stress pour les amoureux des saveurs à cause de la dopamine qu’il libère dans l’organisme.
Aliments réconfortants, le cerveau en est responsable
Bon nombre de personnes pensent que les périodes de difficultés riment avec la perte de poids. Ce n’est pas le cas chez tout le monde. Si manger est une obligation pour une meilleure santé, il permet à certains de fuir les regards. Les moments douloureux sont des occasions pour certaines personnes de se retrouver dans leur chambre avec des plats sucrés salés.
C’est une habitude aussi vieille que le cerveau humain, car tout vient de ce dernier. Le cerveau est le centre de commande des réflexes et habitudes alimentaires. Ainsi, pour que les autres ne remarquent pas ses souffrances, la personne angoissée fait recours à ses émotions positives. Elle va y sortir une panoplie de recettes venant de ses plats préférés pour se consoler. Ce qui l’amènera à prendre du poids.
Cette prise de poids sert à dissimuler ses émotions négatives. La bonne humeur qui ressort de la consommation des comfort-food influence tout le corps. Le bien-être dans la nourriture rime alors avec satisfaction, accoutumance et dépendance. Ce qui peut conduire à des conséquences fâcheuses.